jeudi 17 février 2011

EXEMPLE :

TOULOUSE FOOTBALL CLUB


   Le Toulouse Football Club, qui joue dans la première division française, n’a jamais connu de graves incidents liés aux hooligans.
Il n’y a que très peu d’actes de délinquances par les hooligans,
lors d’un TFC – Marseille durant l’année 2008 quelques hooligans dès deux clubs ont eu une altercation mais aucun n’a été vraiment blessé, car la police a pu agir rapidement. Ce petit accrochage a permis aux « Indians », l’association des ultras toulousains, de préciser que aucun des toulousains ayant pris place dans cette scène n’avait eu le consentement de l’association, car précisons le, les individus interpellés appartenaient aux Indians.

      Le club essaie d’attirer davantage les familles dans le stade, tout comme en Angleterre, afin de hausser les bénéfices tout en montrant que le football est un sport accessible à tous.
      Un autre exemple, la tragique histoire en coupe d’Europe de Brice Taton, qui appartenait aux Indians, et partit en Serbie afin d’assister à un match de son équipe contre le Partizan Belgrade.
      Alors qu’il visitait la ville avec ses compagnons, il fut sauvagement agressé par des hooligans serbes, la Serbie n’ayant rien  fait pour diminuer le mouvement hooligan par le passé. Ses amis ont été blessé cependant après être resté une dizaine de jour dans le coma, le jeune supporter est décédé.
Une vraie tragédie pour les supporters toulousains, mais aussi pour tous les supporters français qui apportèrent leur soutiens aux amis et à la famille de Brice Taton via des tifos (Grandes affiches déployées dans le stade délivrant un message).
      Les serbes furent d’ailleurs compatissant, se sentant responsable et honteux de savoir qu’ils avaient donné la preuve que le hooliganisme était encore là et au moins aussi dangereux qu’il le fut auparavant.
      Un site crée en hommage au jeune homme nous narre la torture a laquelle lui et ses amis ont été soumis. Des armes blanches ainsi que des bouteilles de verre cassées ont été utilisés par les jeunes serbes, ainsi il était question d’une véritable haine envers les toulousains, et non d’un simple défoulement comme on le retrouve en Angleterre
      Lors du match retour, se déroulant à Toulouse, les forces de l’ordre ont été massivement déployé afin d’éviter de nouvelles victimes.
Finalement aucun dommage n’a été déploré, la preuve que le club de Toulouse ne comporte quasiment pas de supporters violent

Déploiement d’un « tifos », une grande affiche exprimant un message, (ceci est un élément caractéristiques des ultras).


INTRODUCTION

INTRODUCTION :


  En France, le hooliganisme tel que l’on peut l’apercevoir en Angleterre n’existe pas vraiment. Seul quelques clubs ayant un palmarès respectable dans le milieu du football possèdent des hooligans.
Le supporter du sud de la France est plus basé sur le modèle italien, on constate une plus grande présence des Ultras, tandis que les supporters du nord de la France ressemble plus au modèle anglais, on recense d’ailleurs de nombreux cas de violence (Paris Saint Germain notamment).
Les hooligans apparaissent en France principalement lors des années 1980,
ils sont représentés par des jeunes skinhead rejetant la gauche au pouvoir et cherchant de nouveaux adhérents dans les stades, et ainsi grâce à la médiatisation de ceux-ci, de se faire remarquer (saluts hitlériens).
Mais l’on remarque que le fascisme dans les stades français n’est que très peu présent, et les violences qui n’étaient pas très nombreuse par le passé, sont désormais quasi inexistante dans le milieu footballistique.
Si les actes restent si peu marqués, c’est car la France n’est pas un pays possédant un championnat prestigieux vis-à-vis des autres nations européennes. L’engouement pour le football ici est donc beaucoup moins important qu’en Angleterre.